Napoleon personally thanked the Armenian patriarch and gifted him with his own tent and sword. L’éclairage de Gros crée l’impression que les hommes placés près du général sont revivifiés tandis que les autres restent plongés dans la pénombre et le désespoir. Notice de l’esquisse », sur la base La Joconde (consulté le 29 juin 2013). On 27 May that same year, Napoleon made a second visit to the plague victims. En représentant Napoléon au milieu de ses hommes, Gros montre que le général n’abandonne pas son armée en terre étrangère. The commission was an attempt to embroider Bonaparte's myt… L'officier qui protège sa bouche et son nez n'a cependant pas une attitude totalement infondée : certains cas de peste bubonique peuvent évoluer en peste pulmonaire, avec un risque très élevé de contagion par les aérosols émis par la toux des malades. Napoleon Bonaparte Visiting the Plague-Stricken in Jaffa by Antoine -Jean Gros Avant le départ de Jaffa, Bonaparte demande aux médecins de son armée d’achever les malades qui ne peuvent pas suivre en administrant un poison aux pestiférés. De plus, Gros représente Bonaparte dans la position du Christ guérisseur ou d’un roi thaumaturge (au moment du sacre, le roi de France touche les malades pour exercer son pouvoir thaumaturgique, c’est-à-dire de guérison). La vaccine de Jenner n'a été introduite en France qu'en 1800 et les membres de l'expédition d'Égypte ne pouvaient en avoir connaissance). Sur la droite, un soldat aveu… Les arcades laissent apparaître au fond la ville de Jaffa, dominée par une tour où flotte le drapeau tricolore; pour ce panorama l'artiste semble s'être inspiré d'une gravure de TICHENY. Bonaparte visitant les pestiférés de Jaffa est un tableau d'Antoine-Jean Gros datant de 1804, commandé par Napoléon pour représenter un épisode de la campagne d'Égypte.La réalité historique de la scène dépeinte par ce tableau, et en particulier du geste de Bonaparte, est contestée. Cette gravure fait partie d’une série produite par l’imagerie Pellerin[1] sur le thème de l’épopée napoléonienne, des grandes batailles à l’apothéose de l’Empereur. Le 11 mars, Bonaparte rend une visite spectaculaire aux malades, et les touche, ce qui est considéré comme magnifique ou suicidaire selon que l'on se place du point de vue de la légende napoléonienne ou de celui des frayeurs que suscite à l'époque la peste. Devant, un homme assis, pensif, rappelle un des damnés du Jugement dernier de Michel-Ange[7]. Since Gros, the artist, was 32 years old at the time at the composition, the shy, naked prisoner may in fact be a hidden self-portrait. L’affaire gène car la version officielle est différente des témoignages britanniques. La lumière vient du haut, peut-être d’une petite lucarne. La réalité semble assez loin de cette image mythique : le 23 avril 1799, pendant le siège de Saint-Jean-d'Acre, Bonaparte suggère à Desgenettes, médecin en chef de l'expédition, d'administrer de l'opium aux malades, c'est-à-dire de les euthanasier. La question de la vaccine est très débattue, car une personne sur trois cents peut mourir après injection de la vaccine. De plus, Bonaparte a rapporté quelques années auparavant l’Apollon du Belvédère d’Italie, ce que sait la population. Bonaparte Visits the Plague Stricken in Jaffa (Bonaparte visitant les pestiférés de Jaffa) is an 1804 painting commissioned by Napoleon Bonaparte from Antoine-Jean Gros to portray an event during the Egyptian Campaign. Cependant, la visite de Bonaparte aux pestiférés est attestée par Desgenettes, mais les faits sont différents : Bonaparte," se trouvant dans une chambre étroite et très encombrée ,[il] aida à soulever ou mieux à porter le cadavre … Desgenettes refuse. Dans ce groupe, des pestiférés ont des corps qui sont des nus académiques, à la beauté idéalisée où tous les muscles sont visibles, tels des sculptures antiques. The two-coloured arcade opens out on a gallery full of the sick. Napoleon Bonaparte Visiting the Plague-Stricken in Jaffa, "Gros's Napoleon Bonaparte Visiting the Plague-Stricken in Jaffa", Land grant to Marduk-apla-iddina I by Meli-Shipak II, Statue of the Tiber river with Romulus and Remus, Gabrielle d'Estrées et une de ses sœurs, Vulcan Presenting Venus with Arms for Aeneas, The Attributes of Civilian and Military Music, The Attributes of Music, the Arts and the Sciences, The Lictors Bring to Brutus the Bodies of His Sons, Coresus Sacrificing Himself to Save Callirhoe, Bonaparte Visiting the Plague Victims of Jaffa, Don Pedro of Toledo Kissing Henry IV's Sword, Joan of Arc at the Coronation of Charles VII, Portrait of Madame Marcotte de Sainte-Marie, Francesca da Rimini and Paolo Malatesta Appraised by Dante and Virgil, Madonna and Child with Saint Peter and Saint Sebastian, Venus and the Three Graces Presenting Gifts to a Young Woman, A Young Man Being Introduced to the Seven Liberal Arts, Portrait of Alof de Wignacourt and his Page, The Doge on the Bucintoro near the Riva di Sant'Elena, Holy Family with the Family of St John the Baptist, Saints Bernardino of Siena and Louis of Toulouse, Madonna and Child with St John the Baptist and St Catherine of Alexandria, Madonna and Child with St Rose and St Catherine, Portrait of Sigismondo Pandolfo Malatesta, Portrait of Doña Isabel de Requesens y Enríquez de Cardona-Anglesola, Crucifixion with the Virgin Mary, St John and St Mary Magdalene, The Archangel Raphael Leaving Tobias' Family, Pendant portraits of Marten Soolmans and Oopjen Coppit, Ixion, King of the Lapiths, Deceived by Juno, Who He Wished to Seduce, The Virgin and Child Surrounded by the Holy Innocents, Francis I, Charles V and the Duchess of Étampes, Street Scene near the El Ghouri Mosque in Cairo, Christopher Columbus Before the Council of Salamanca, https://en.wikipedia.org/w/index.php?title=Bonaparte_Visiting_the_Plague_Victims_of_Jaffa&oldid=997334509, Paintings of the Louvre by French artists, Articles with unsourced statements from December 2020, Wikipedia articles with Joconde identifiers, Creative Commons Attribution-ShareAlike License, This page was last edited on 31 December 2020, at 01:20. Arrivé devant la forteresse de Saint-Jean d'Acre, Bonaparte renonce à poursuivre sa marche vers Istamboul. Arrivé devant la forteresse de Saint-Jean d'Acre, Bonaparte renonce à poursuivre sa marche vers Istamboul. Le médecin essuie la lame qui va servir à inciser. Décrivons cette composition. Gros présente un médecin turc qui prélève le liquide présent dans un bubon. En 1804, il n'est pas question de représenter qui que ce soit osant empêcher Bonaparte de faire quoi que ce soit, mais un soldat esquisse le geste d'arrêter la main dégantée qui va toucher le bubon d'un malade. Les mécanismes de la contagion de la peste bubonique sont encore inconnus au début du XIXe siècle, et l'on ignore le rôle des puces dans la transmission jusqu'à sa mise en évidence par Paul-Louis Simond en 1898. Les Anglais en guerre contre la France en profitent pour lancer une importante propagande antinapoléonienne dont l’écho arrive jusqu’en France (caricature de James Gillray Le jour du règlement de comptes du boucher corse (1803). Le contraste entre les pestiférés qui se fondent dans le décor oriental et l’uniforme français du général est aussi une manière de mettre en valeur le chef de l’armée. À droite, Napoléon touche le bubon d'un malade à son aisselle. Dominique Vivant Denon, who participated in Bonaparte's expedition to Egypt and was now director of the musée du Louvre, acted as advisor to Gros on it. On 11 March, Bonaparte made a spectacular visit to his sick soldiers, touching them, which was considered to be either magnificent or suicidal according to one's point of view on the Napoleonic legend or of the terrors of an age of plagues. It is sometimes mistaken to be set in a mosque but is actually set in the Armenian Saint Nicholas Monastery, whose courtyard can be seen in the background. Les généraux de Bonaparte relatant la campagne d’Égypte ne font pas mention de l’évènement ou décrivent une traversée rapide et hâtée du lazaret par Bonaparte[6]. En pleine lumière, Bonaparte touche la tumeur d'un des malades, torse nu, de sa main dégantée, tandis qu'un médecin veut l'en dissuader et qu'un officier se bouche le nez. Date: 22 September 2019: Source: Own work: Author: Pierre … La ville de Jaffa est un des principaux centres marchands de Syrie.Son port peut fournir un abri essentiel pour la flotte. In front of him, an Arab doctor is caring for another sick man, while a blind man struggles to approach the general. Cette scène a fait l'objet d'une première esquisse de Gros qui se trouve au Musée du Louvre. Dans l’obscurité sont peints les différents stades de la peste. L’évocation de ces figures se lit notamment dans le toucher de Bonaparte sur le pestifère. La position centrale, la convergence des lignes dominantes sur Bonaparte, la lumière et les couleurs sont autant d’éléments qui mettent en valeur le général. Pour avancer, Napoléon doit gagner Jaffa. Bonaparte visitant les pestiférés de Jaffa est un tableau d'Antoine-Jean Gros datant de 1804, commandé par Napoléon pour représenter un épisode de la campagne d'Égypte.La réalité historique de la scène dépeinte par ce tableau, et en particulier du geste de Bonaparte, est contestée. Le geste médical est un peu plus à droite du tableau, inchangé depuis au moins le Moyen Âge : c'est l'incision des bubons opérée par le vieux médecin, pour s'en faire écouler le pus, ce qui est inefficace quant au traitement et affaiblit le malade. Ce tableau reprend le même principe que le Serment des Horaces de Jacques Louis David de 1784, conservé au Louvre. On 23 April 1799, during the siege of Acre, Bonaparte suggested to Desgenettes, the expedition's chief doctor, that the sick should be administered a fatal-level dose of opium - that is, mercy-killed. Découvrez Bonaparte touchant les pestiférés analysée par Nathalie JANES au travers d’œuvres et d’images d’archive. The means by which bubonic plague spread were still unknown at the start of the 19th century, and the flea's role in its transmission was unknown until Paul-Louis Simond found evidence for it in 1898. Bonaparte Visits the Plague Stricken in Jaffa (French: Bonaparte visitant les pestiférés de Jaffa) is an 1804 painting commissioned by Napoleon Bonaparte by Antoine-Jean Gros to portray an event during the Egyptian Campaign. Create a clean and professional home studio setup; Sept. 10, 2020. The smoke from a fire, or excessive cannon smoke, dominates the town. Erst beim Eintreffen der Seuche in Jaffa dämmerte es, dass sich der Schwarze Tod unter das Heer der Franzosen gemischt hatte. En arrière-plan, il y a les murailles de la ville, dont une tour présente une brèche, tandis qu'un drapeau français démesuré flotte au-dessus de la fumée d'un incendie. Bonaparte visitant les pestiférés de Jaffa est un tableau d'Antoine-Jean Gros datant de 1804, commandé par Napoléon pour représenter un épisode de la campagne d'Égypte. On remarque à gauche des figures qui souffrent, mais aussi deux Arabes portant un brancard qui soutient certainement un cadavre, représentés de manière énergique. Ansteckungen bei dienstbaren Damen in Kairo kamen immer in Betracht. Ce tableau représente le général Bonaparte visitant les pestiférés de l'armée française rassemblés dans la cour d'une mosquée qui sert d'hôpital militaire, à Jaffa. This painting uses elements of the composition of Jacques-Louis David's 1784 Oath of the Horatii, also held at the Louvre, such as the three arcades from Oath which defined three different worlds (the three sons making the oath in the left one; the father brandishing the swords in the middle; the women abandoned to sadness in the right-hand one), a principle taken up in this painting too. The Napoleonic army requested the help of the priests from the Armenian monastery, who provided medicine that was able to cure some of the soldiers. La réalité historique de la scène dépeinte par ce tableau, et en particulier du geste de Bonaparte, est contestée. Lacte devient héroïque lorsque le graveur le représente touchant un pestiféré dans un geste symbolique. Au premier plan, un médecin arabe donne des soins à un autre malade. Als die ersten Soldaten erkrankten, diagnostizierten die Sanitätsoffiziere so allerhand. Bonaparte a donc pris encore plus de risques qu'en touchant un bubon fermé. Bonaparte rend visite aux soldats malades soignés dans un monastère de la ville, avec le médecin en chef Desgenettes. Bonaparte visitant les pestiférés de Jaffa le 11 mars 1799 «Gros», Napoléon visitant les pestiférés de Jaffa Antoine-Jean Gros, baron Gros, né à Paris le 16 mars 1771 et mort le 25 juin 1835 à Meudon est un peintre français néoclassique et préromantique. Il met en scène le futur Empereur bravant le danger pour soutenir ses soldats frappés par une épidémie de peste bubonique. Since the army's arrival in Egypt in July 1798, several French had suffered serious eye problems due to the sand, dust and extreme light of the sun. Toucher à main nue un bubon n'est pas particulièrement risqué, tous les autres acteurs de la scène courent, nous le savons maintenant, le même risque, celui qu'une puce passe sur eux depuis un malade. Bonaparte visitant les pestiférés de Jaffa, Département des peintures du musée du Louvre, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Bonaparte_visitant_les_pestiférés_de_Jaffa&oldid=175590614, Collection de peintures françaises du Louvre, Page pointant vers des bases relatives aux beaux-arts, Portail:France au XIXe siècle/Articles liés, Portail:Époque contemporaine/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. Antoine Jean Gros, 1804 h. Bonaparte visitant les pestiférés de Jaffa En arrière-plan, il y a les murailles de la ville. 1804, Antoine-Jean Gros, sur commande de Napoléon, pour représenter un épisode de la campagne d'Égypte, peint Bonaparte visitant les pestiférés de Jaffa. The massive painting "Bonaparte visitant les pestiférés de Jaffa" ("Bonaparte Visiting the Plague-Stricken in Jaffa") hangs in the main salon of The Louvre in Paris. Behind them, two black men carry a stretcher, on which is a form, probably a cadaver. Bonaparte Visits the Plague Stricken in Jaffa (French: Bonaparte visitant les pestiférés de Jaffa) is an 1804 painting commissioned by Napoleon Bonaparte by Antoine-Jean Gros to portray an event during the Egyptian Campaign. Bonaparte visitant les pestiférés de Jaffa ... -chef de l'armée d'Orient René-Nicolas Desgenettes interdit de prononcer le mot fatal pour ne pas démoraliser les troupes. https://www.wikiart.org/.../bonaparte-visiting-the-plague-victims-of-jaffa-1804 De plus, le courage et le calme de Bonaparte par rapport aux autres soldats (l’un se cache la bouche avec un tissu, un autre fuit la scène, Desgenettes et un autre soldat essaient d’empêcher Bonaparte de toucher le bubon du pestiféré) présentent un chef attentif à ses soldats, prêt à réconforter ses troupes au péril de sa vie. Bonaparte Visits the Plague Stricken in Jaffa (French: Bonaparte visitant les pestiférés de Jaffa) is an 1804 painting commissioned by Napoleon Bonaparte from Antoine-Jean Gros to portray an event during the Egyptian Campaign. Durant lexpédition de Syrie, une épidémie de peste ravage larmée française après la prise de Jaffa. Ce groupe dit le désespoir quand celui de la lumière représente l’espoir revenu. Originaldatei ‎ (2.763 × 1.972 Pixel, Dateigröße: 1,68 MB, MIME-Typ: image/jpeg). On 18 September 1804, the painting was exhibited at the Salon de Paris, between Napoleon's proclamation as emperor on 18 May and his coronation at Notre-Dame de Paris on 2 December. Louvre, Paris. On peut remarquer trois arcades comme pour le Serment des Horaces à gauche les fils prêtant serment, puis au milieu le père levant les épées et à droite les femmes tristes. The show also frequently lapsed into cheap orientalism, with a hodgepodge of objects of limited artistic or historical interest. Le siège de Jaffa eut lieu du 3 au 7 mars 1799 pendant la campagne d'Égypte. Alternatively, it could reflect the soldier's regiment (the 32e demi-brigade was one of the French units committed to the Egyptian campaign). Dans ces oeuvres, les victimes sont des mourants et l’allégorisation semble avoir pour but de sublimer rhétoriquement un constat intolérable, celui de la mortalité de l’homme. Ce tableau a été réalisé en 1804, et exposé pour la première fois le 18 septembre au Salon de Paris. The bodies are sick, languishing, and the hero is less heroic for being surrounded by ordinary people. Bonaparte Visits the Plague Stricken in Jaffa (French: Bonaparte visitant les pestiférés de Jaffa) is an 1804 painting commissioned by Napoleon Bonaparte from Antoine-Jean Gros to portray an event during the Egyptian Campaign.